
La chute du régime de Bachar el-Assad n’a pas mis fin aux souffrances des Syriens. Depuis la nomination d’Ahmed al-Charaa à la présidence, les violences ont changé de visage, mais persistent, selon le magazine mensuel américain The Atlantic. «Charaa est confronté à un dilemme: comment unifier le pays sans avoir le réel contrôle? Ses forces sont des suprématistes sunnites, c’est indéniable», affirme Joshua Landis, directeur des études sur le Moyen-Orient à l’Université d’Oklahoma.