
Les femmes précaires et les étudiantes ne parvenant pas à se loger peuvent être ciblées par des propriétaires qui leur proposent une chambre ou un appartement en échange de faveurs sexuelles. Les associations tentent d’intervenir, mais faute de dépôt de plainte systématique, il est difficile de recenser et de condamner ces abus.
Les associations tirent la sonnette d’alarme concernant un phénomène inquiétant : les propriétaires qui font payer «en nature» leurs locataires. Plus précisément les étudiantes et les femmes précaires ne parvenant pas à trouver de logement en raison de leur situation financière. Comme le note TF1, le nombre de Français non ou mal logés est estimé à environ 4 millions.