
L’essentiel
- La ville de Lille a pris un arrêté en mai dernier interdisant « la consommation, la détention, la vente et la distribution de protoxyde d’azote dans plusieurs secteurs festifs identifiés », avec plus de 500 verbalisations dressées en 8 mois. Mais cela montre les limites d’une action municipale seule.
- Le protoxyde d’azote reste un produit licite en France car utilisé en médecine et agroalimentaire, mais Lille a demandé au gouvernement « de faire évoluer le cadre juridique afin que le protoxyde d’azote soit classé comme produit stupéfiant ». Un souhait partagé par le ministre de la Justice, Gérald Darmanin.
- Le problème majeur demeure l’absence de test homologué pour détecter la substance dans l’organisme, car le protoxyde d’azote est rapidement éliminé.
Lire la suite ici