L’ex-présidente taïwanaise Tsai Ing-wen a récemment demandé aux États-Unis de privilégier les livraisons d’armes à l’Ukraine plutôt qu’à son propre pays. Une défaite de Kiev encouragerait, selon elle, une invasion de Taïwan par la Chine. Or une telle offensive ne serait pas sans risque pour Pékin. Analyse des scénarios possibles à l’heure où la menace d’une attaque chinoise s’intensifie.
À différentes occasions, le président Xi Jinping a mis en garde contre toute ingérence dans les affaires intérieures de la Chine, y compris Taïwan qui, du point de vue de la RPC, n’est qu’une île rebelle vouée à être récupérée tôt ou tard, y compris, si nécessaire, par la force.