Dans la famille des médicaments à usage détourné, on demande la prégabaline. Ce traitement, plus connu sous le nom commercial de Lyrica et prescrit pour soigner l’épilepsie, le trouble anxieux généralisé et les douleurs neuropathiques, est de plus en plus détourné à des fins stupéfiantes. Mercredi, la douane française a lancé l’alerte : les saisies de prégabaline se multiplient ces derniers mois.