Qu’ils cultivent leurs terres en agriculture conventionnelle ou biologique, trois agriculteurs s’expriment sur les raisons de leur mouvement de colère. S’ils rencontrent des difficultés qui diffèrent, ils partagent un même sentiment d’abandon du monde agricole.
En octobre, les panneaux renversés à l’entrée des villes annonçaient les prémices d’un vent de colère. L’opération baptisée « On marche sur la tête » et menée par les Jeunes Agriculteurs dénonçait déjà la multiplication des normes encadrant les activités agricoles.