Si fidèles au parti présidentiel et désormais si vindicateurs à l’encontre de leur chef, à neuf jours du premier tour des élections législatives, dimanche 30 juin 2024.
Les macronistes fustigent en effet tant la dissolution de l’Assemblée nationale voulue par Emmanuel Macron que la tenue des élections à venir. Les quolibets volent dans les médias et la parole se délie : quand Bruno Le Maire raillent les conseillers de l’ombre du chef de l’État en les qualifiant de « cloportes », Edouard Philippe estime quant à lui que le Président a « tué la majorité ».